- EAN13
- 9782072818080
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Gallimard)
- Date de publication
- 1952
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Pendant près d’un demi-siècle, le nom de Misia Sert a régné sur Paris. Misia
Sert que tout le monde appelait par son prénom, a connu, admiré ou découvert
les meilleurs artistes d’Europe entre 1900 et 1950 ; Renoir, Bonnard ont fait
son portrait ; son premier mari, Thadée Natanson, dirigeait la « Revue Blanche
» à laquelle collaboraient les meilleurs esprits de l’époque, etc. Ce livre
constitue les « Mémoires » de Misia. C’est un défilé éblouissant de peintres,
de poètes, de musiciens, d’orfèvres, de décorateurs, d’acteurs. Stravinsky,
Mallarmé, Bonnard, on ne peut pas les nommer tous, mais ils sont tous là :
Misia les a connus, aimés, compris. C’était une femme étonnante, aussi
intelligente que belle, dont le goût n’était jamais en défaut, ni la bonté, ni
la délicatesse. Et ces mémoires sont le vivant reflet d’elle-même et de sa
vie, une sorte de conte des mille et une nuits de Paris.
Sert que tout le monde appelait par son prénom, a connu, admiré ou découvert
les meilleurs artistes d’Europe entre 1900 et 1950 ; Renoir, Bonnard ont fait
son portrait ; son premier mari, Thadée Natanson, dirigeait la « Revue Blanche
» à laquelle collaboraient les meilleurs esprits de l’époque, etc. Ce livre
constitue les « Mémoires » de Misia. C’est un défilé éblouissant de peintres,
de poètes, de musiciens, d’orfèvres, de décorateurs, d’acteurs. Stravinsky,
Mallarmé, Bonnard, on ne peut pas les nommer tous, mais ils sont tous là :
Misia les a connus, aimés, compris. C’était une femme étonnante, aussi
intelligente que belle, dont le goût n’était jamais en défaut, ni la bonté, ni
la délicatesse. Et ces mémoires sont le vivant reflet d’elle-même et de sa
vie, une sorte de conte des mille et une nuits de Paris.
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