- EAN13
- 9791030905267
- Éditeur
- Orizons
- Date de publication
- 11/05/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791030905267
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
11.99
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Papier - Orizons 16,00
L’art approche le sacré et se révèle par la beauté. « La forme, c’est le fond
qui remonte à la surface » (Victor Hugo) autant que « La grâce ne fait pas
disparaître la nature, elle l’achève » (Saint Thomas d’Aquin). Elle la
parachève par le Beau qui est essence de l’esprit. Ce beau et cet esprit que
la démarche maçonnique édifie, élèvent l’initié vers sa découverte profonde de
son tréfonds et son devenir. Inlassablement, l’homme ne saurait trouver le
bonheur que dans sa mise en harmonie, qui équilibre et stabilise ; le bonheur
ne peut se concrétiser, partant se symboliser, que par la réunion de l’amour
et de l’amour du beau. Aux repères millénaires perdus, le laid et ses
sophismes pourraient alors s’y substituer. En revanche, le rituel permet de
rassembler ce qui est épars, d’exalter la beauté cachée en chacun de nous, de
concilier les différences et les contradictions. La beauté est une présence
rayonnante ; elle irradie la Lumière et la pureté. Elle sonde le sacré et
fragilise le sujet par trop confronté à l’objet. Or l’objet est aussi une
expérience spirituelle de réalisation personnelle et de création à condition
de ne pas le laisser glisser dans les pentes de l’idolâtre. Ainsi, à rebours
des idolâtries humaines la transmission d’une philosophie spirituelle conduira
à la paix de soi et à celle de son prochain.
qui remonte à la surface » (Victor Hugo) autant que « La grâce ne fait pas
disparaître la nature, elle l’achève » (Saint Thomas d’Aquin). Elle la
parachève par le Beau qui est essence de l’esprit. Ce beau et cet esprit que
la démarche maçonnique édifie, élèvent l’initié vers sa découverte profonde de
son tréfonds et son devenir. Inlassablement, l’homme ne saurait trouver le
bonheur que dans sa mise en harmonie, qui équilibre et stabilise ; le bonheur
ne peut se concrétiser, partant se symboliser, que par la réunion de l’amour
et de l’amour du beau. Aux repères millénaires perdus, le laid et ses
sophismes pourraient alors s’y substituer. En revanche, le rituel permet de
rassembler ce qui est épars, d’exalter la beauté cachée en chacun de nous, de
concilier les différences et les contradictions. La beauté est une présence
rayonnante ; elle irradie la Lumière et la pureté. Elle sonde le sacré et
fragilise le sujet par trop confronté à l’objet. Or l’objet est aussi une
expérience spirituelle de réalisation personnelle et de création à condition
de ne pas le laisser glisser dans les pentes de l’idolâtre. Ainsi, à rebours
des idolâtries humaines la transmission d’une philosophie spirituelle conduira
à la paix de soi et à celle de son prochain.
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