- EAN13
- 9782882508379
- Éditeur
- Noir sur Blanc
- Date de publication
- 16/03/2023
- Langue
- français
- Langue d'origine
- ukrainien
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782882508379
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
15.99
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« Au début, nous ne comprenions pas ce que c’était que la guerre. » Alors que
les forces russes envahissent l’Ukraine et que la guerre devient une réalité
dévastatrice, en février 2022, Andreï Kourkov tient une chronique au jour le
jour. À la fois journal personnel et commentaire politique et historique, ce
texte explore les relations entre l’histoire ukrainienne et l’histoire russe,
mais aussi entre les deux langues du pays. En décrivant comment une société
pacifique fait face à l’occupation, l’auteur nous montre une culture qui,
contrairement aux affirmations de Poutine, est singulière et démocratique,
libérale et diverse – une culture qui « résistera jusqu’à la fin ». Avec son
regard aiguisé sur les événements et son amour des gens, Kourkov dresse le
portrait d’un peuple uni dans la lutte contre sa disparition. Le pain est cuit
et partagé dans les ruines. Un homme amputé trouve une place dans un train
d’évacuation, des grand-mères fuient les villes occupées avec leurs coqs sous
le bras… Et malgré tout, l’espoir reste le plus fort : des enfants naissent
dans les caves, les fermiers cultivent leurs champs malgré les mines et les
bombardements. Dans son journal, Kourkov entrelace son histoire personnelle
avec celle des autres Ukrainiens déplacés, et des communautés qui leur
viennent en aide avec une générosité extraordinaire. Ensemble, ils attendent
le moment où il sera possible de rentrer chez eux en sécurité.
les forces russes envahissent l’Ukraine et que la guerre devient une réalité
dévastatrice, en février 2022, Andreï Kourkov tient une chronique au jour le
jour. À la fois journal personnel et commentaire politique et historique, ce
texte explore les relations entre l’histoire ukrainienne et l’histoire russe,
mais aussi entre les deux langues du pays. En décrivant comment une société
pacifique fait face à l’occupation, l’auteur nous montre une culture qui,
contrairement aux affirmations de Poutine, est singulière et démocratique,
libérale et diverse – une culture qui « résistera jusqu’à la fin ». Avec son
regard aiguisé sur les événements et son amour des gens, Kourkov dresse le
portrait d’un peuple uni dans la lutte contre sa disparition. Le pain est cuit
et partagé dans les ruines. Un homme amputé trouve une place dans un train
d’évacuation, des grand-mères fuient les villes occupées avec leurs coqs sous
le bras… Et malgré tout, l’espoir reste le plus fort : des enfants naissent
dans les caves, les fermiers cultivent leurs champs malgré les mines et les
bombardements. Dans son journal, Kourkov entrelace son histoire personnelle
avec celle des autres Ukrainiens déplacés, et des communautés qui leur
viennent en aide avec une générosité extraordinaire. Ensemble, ils attendent
le moment où il sera possible de rentrer chez eux en sécurité.
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