Que la terre nous soit légère
EAN13
9782371250482
ISBN
978-2-37125-048-2
Éditeur
Perséides
Date de publication
Collection
LA LUNATIQUE
Nombre de pages
238
Dimensions
19 x 13 x 1,9 cm
Poids
242 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Que la terre nous soit légère

Perséides

La Lunatique

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Le récit s'ouvre au moment où la narratrice se retrouve à l'entrée du service admissions d'un hôpital psychiatrique après avoir tenté de mettre fin à ses jours. Chaque chapitre, très court, ouvre une vignette sur l'univers tragi-comique dans lequel elle doit commencer son parcours thérapeutique afin de (re)trouver le goût de la vie. Au fil des pages, le récit fait place à l'intime. Le lecteur découvre, en filigrane, les contours d'un drame familial (la perte prématurée de la mère) et ses conséquences dans la trajectoire de cette femme. Jour après jour, la chambre de l'institution psychiatrique devient chambre d'incubation, cocon dans lequel tout doucement un avenir semble redevenir possible. Au moment même où la narratrice se tourne enfin vers la vie et où la mort paraît s'éloigner, celle-ci se rappelle brutalement à son souvenir, le 14 juillet 2016, sur la promenade des Anglais... Le récit se clôt sur la volonté de la narratrice de faire de la tragédie une force de vie, à l'image du poème du poème d'Emily Dickinson On apprend l'eau par la soif, sur lequel s'ouvre ce roman servi par une écriture nerveuse, électrique et résolument moderne.
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Avec Géraldine Guillier
Le , Librairie Mots et Images

Venez à la rencontre de Géraldine Guillier pour son premier roman "Que la terre nous soit légère".

Le récit s'ouvre au moment où la narratrice se retrouve à l'entrée du service admissions d'un hôpital psychiatrique, lieu tragi-comique dans lequel elle doit commencer un parcours thérapeutique pour (re)- trouver le goût de la vie. Jour après jour, la chambre de l'institution devient chambre d'incubation, cocon dans lequel tout doucement un avenir semble redevenir possible. Au moment même où le narratrice se tourne enfin vers la vie et où la mort paraît s'éloigner, celle- ci se rappelle brutalement à son souvenir le 14 juillet 2016 sur la Promenade des Anglais.

Dans ce récit profondément intime qui alterne entre tranches de vie et introspection on retrouve la dualité de son autrice. Le style est direct, les mots résonnes, une douce ironie coule, une thérapie par l'écriture.