- EAN13
- 9782350774442
- ISBN
- 978-2-35077-444-2
- Éditeur
- Archives et Culture
- Date de publication
- 18/04/2024
- Collection
- GUIDES DE GENEA
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 24 x 16,7 x 0,9 cm
- Poids
- 356 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
-
12.90
« Partout où le soleil passe, le Breton passe », disait déjà Catherine de Sienne au XIVe siècle. Aujourd'hui, tout autour du monde et dans toutes les régions de France, bon nombre de nos contemporains comptent des Bretons dans leur ascendance. Sur place, la recherche des histoires familiales y est en très net essor et les associations de généalogie bretonnes sont celles en France qui comptent le plus grand nombre d'adhérents.
Mais pourquoi un guide spécifique ? Parce que, même si la Bretagne a été rattachée à la France il y a près d'un demi-millénaire, ses archives d'Ancien Régime présentent des caractéristiques propres. Le droit ancien n'était pas celui du reste du royaume. On y trouve des institutions comme les décrets de mariage ou le bail à domaine congéable avec sa dévolution successorale au profit du juveigneur (le plus jeune enfant). La fiscalité de la province ignorait la taille et la gabelle, mais connaissait le fouage et la capitation. Les inventaires après décès n'étaient pas dressés par des notaires, mais par les greffiers des tribunaux. Aux XIXe et XXe siècles, si les administrations ont été unifiées, les noms de famille et de lieux peuvent encore provoquer bien des surprises.
Ce guide sadresse aussi bien au débutant qu'au chercheur aguerri : tant de pistes et de cas sont cités que chacun y trouvera matière à progresser. Le découpage en double page de la collection se prête particulièrement à cette pédagogie par l'exemple.
Mais pourquoi un guide spécifique ? Parce que, même si la Bretagne a été rattachée à la France il y a près d'un demi-millénaire, ses archives d'Ancien Régime présentent des caractéristiques propres. Le droit ancien n'était pas celui du reste du royaume. On y trouve des institutions comme les décrets de mariage ou le bail à domaine congéable avec sa dévolution successorale au profit du juveigneur (le plus jeune enfant). La fiscalité de la province ignorait la taille et la gabelle, mais connaissait le fouage et la capitation. Les inventaires après décès n'étaient pas dressés par des notaires, mais par les greffiers des tribunaux. Aux XIXe et XXe siècles, si les administrations ont été unifiées, les noms de famille et de lieux peuvent encore provoquer bien des surprises.
Ce guide sadresse aussi bien au débutant qu'au chercheur aguerri : tant de pistes et de cas sont cités que chacun y trouvera matière à progresser. Le découpage en double page de la collection se prête particulièrement à cette pédagogie par l'exemple.
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