- EAN13
- 9782228933124
- Éditeur
- Payot
- Date de publication
- 05/04/2023
- Collection
- Essais Payot
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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A qui profite le sale ?
Sexisme, racisme et capitalisme dans le rap français
Benjamine Weill
Payot
Essais Payot
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Payot 20,50
Parce que le rap le vaut bien
Aimer le rap n’est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du
sale bien gras, il faut s’interroger : pourquoi ces représentations virilistes
au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du
sale pour en comprendre les piliers – sexistes et racistes – et dénoncer les
intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des
idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un
regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d’un
mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les
principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et
culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social,
notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap
depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et
accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la
culture Hip- Hop.
Aimer le rap n’est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du
sale bien gras, il faut s’interroger : pourquoi ces représentations virilistes
au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du
sale pour en comprendre les piliers – sexistes et racistes – et dénoncer les
intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des
idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un
regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d’un
mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les
principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et
culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social,
notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap
depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et
accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la
culture Hip- Hop.
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