- EAN13
- 9782307116912
- Éditeur
- Julliard (réédition numérique FeniXX)
- Date de publication
- 1952
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
L’auteur, né à Paris, vit en Amérique, où il est professeur. Sous le titre
Loisirs, il a déjà écrit des scènes de la vie new-yorkaise. Il nous fait
pénétrer aujourd’hui dans un monde fascinant : celui des champs de courses et
de leurs habitués. Partout dans le monde, l’atmosphère y est semblable : les
mêmes intérêts, les mêmes angoisses, les mêmes « martingales » y ont cours.
Ted Arnold, le héros de ce roman, est un « joueur ». S’il parie sur les
chevaux, il joue sa vie en même temps. Et, parfois, il perd. Quand il s’est
marié, il a préféré Jane à Lucy. Il a mal misé. Il n’est pas devenu un grand
écrivain, comme l’espérait Jane, mais simple collaborateur d’une maison
d’édition. C’est un solitaire, qui ne peut s’entendre qu’avec ceux qui
partagent sa passion « pour tout ce qui manifeste la liberté du destin ». Il
nous mène à Jamaïca (le Longchamp new-yorkais), et sur les divers champs de
courses qui parsèment les U.S.A. Il nous présente ses « copains » et leurs «
combines » et nous apprend les règles du parfait turfiste. Peut-être Maud,
l’amie de Ted Arnold, sera-t-elle finalement le cheval gagnant de cette course
éperdue qu’est sa vie ?
Loisirs, il a déjà écrit des scènes de la vie new-yorkaise. Il nous fait
pénétrer aujourd’hui dans un monde fascinant : celui des champs de courses et
de leurs habitués. Partout dans le monde, l’atmosphère y est semblable : les
mêmes intérêts, les mêmes angoisses, les mêmes « martingales » y ont cours.
Ted Arnold, le héros de ce roman, est un « joueur ». S’il parie sur les
chevaux, il joue sa vie en même temps. Et, parfois, il perd. Quand il s’est
marié, il a préféré Jane à Lucy. Il a mal misé. Il n’est pas devenu un grand
écrivain, comme l’espérait Jane, mais simple collaborateur d’une maison
d’édition. C’est un solitaire, qui ne peut s’entendre qu’avec ceux qui
partagent sa passion « pour tout ce qui manifeste la liberté du destin ». Il
nous mène à Jamaïca (le Longchamp new-yorkais), et sur les divers champs de
courses qui parsèment les U.S.A. Il nous présente ses « copains » et leurs «
combines » et nous apprend les règles du parfait turfiste. Peut-être Maud,
l’amie de Ted Arnold, sera-t-elle finalement le cheval gagnant de cette course
éperdue qu’est sa vie ?
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