- EAN13
- 9782363077998
- Éditeur
- Culture commune
- Date de publication
- 28/09/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782363077998
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1.99
Philèbe
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition
numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Le Philèbe (ou Du Plaisir) est un dialogue de Platon du genre éthique,
considéré comme l'avant-dernier nous étant parvenu (avant Les Lois). Le
dialogue se présente à la manière d'un exercice de dialectique, classique dans
l'Académie de Platon : chacun a une thèse à défendre touchant un problème
philosophique. Le Philèbe porte sur la vie bonne ; Socrate défend que la vie
bonne est avant-tout constituée par la réflexion et la science, tandis que
Philèbe laisse le soin à Protarque d'opposer à Socrate sa thèse d'une vie
faite de plaisir. L'art se rapporte à la fois au beau et à l'agréable ; il
exprime l'un en excitant l'autre ; il a le bien pour dernier but et le plaisir
pour condition immédiate. Il y a deux sortes de plaisirs que Platon a déjà
distingués dans le Philèbe : celui des sens qui naît de leur seule
satisfaction, et celui de l’âme qui est attaché par un lien merveilleux à la
perception du vrai et à celle du bien.
Retrouvez l'ensemble de nos collections sur http://www.culturecommune.com/
Platon (traduction Victor Cousin)
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition
numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Le Philèbe (ou Du Plaisir) est un dialogue de Platon du genre éthique,
considéré comme l'avant-dernier nous étant parvenu (avant Les Lois). Le
dialogue se présente à la manière d'un exercice de dialectique, classique dans
l'Académie de Platon : chacun a une thèse à défendre touchant un problème
philosophique. Le Philèbe porte sur la vie bonne ; Socrate défend que la vie
bonne est avant-tout constituée par la réflexion et la science, tandis que
Philèbe laisse le soin à Protarque d'opposer à Socrate sa thèse d'une vie
faite de plaisir. L'art se rapporte à la fois au beau et à l'agréable ; il
exprime l'un en excitant l'autre ; il a le bien pour dernier but et le plaisir
pour condition immédiate. Il y a deux sortes de plaisirs que Platon a déjà
distingués dans le Philèbe : celui des sens qui naît de leur seule
satisfaction, et celui de l’âme qui est attaché par un lien merveilleux à la
perception du vrai et à celle du bien.
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