- EAN13
- 9782384870479
- Éditeur
- Editions Christine Bonneton
- Date de publication
- 06/10/2022
- Collection
- Romans
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782384870479
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Antoine, écrivain reconnu, reçoit une lettre de son père, mort depuis déjà
trois semaines. Il avait quatre-vingt-quinze ans. Qui donc, à sa place, a pu
poster cette lettre ? Et dans cette lettre que disait-il ? Il laissait le soin
à La Longère, la maison près de Saint-Malo où il s’était retiré depuis la
disparition de son épouse, de conter à Antoine les secrets que sa mère et lui
ont emportés dans la tombe.
Ainsi, Antoine découvre qu’il avait une sœur, née en 1947, Antoinette, morte
alors qu’elle avait trois ans ; une enfant pas tout à fait comme les autres :
trisomique, ou mongolienne comme on disait alors. Antoine avait été mis en
route bien des années plus tard. Outre cette révélation, le testament contient
une disposition : en souvenir d’Antoinette, son père l’engageait à faire don
de La Longère à une association qui accompagne les personnes en situation de
handicap mental. Il s’agit d’un engagement moral, non d’une obligation. À lui
de décider.
Antoine va chercher à comprendre ses parents, à les découvrir, eux qui se sont
toujours dissimulés à lui avec tant d’application : pourquoi ne lui ont-ils
jamais rien dit d’Antoinette et de son mal ? de cette douleur qui les
tenaillait ? Pourquoi, lui, est-il arrivé au monde tant d’années après sa sœur
?
trois semaines. Il avait quatre-vingt-quinze ans. Qui donc, à sa place, a pu
poster cette lettre ? Et dans cette lettre que disait-il ? Il laissait le soin
à La Longère, la maison près de Saint-Malo où il s’était retiré depuis la
disparition de son épouse, de conter à Antoine les secrets que sa mère et lui
ont emportés dans la tombe.
Ainsi, Antoine découvre qu’il avait une sœur, née en 1947, Antoinette, morte
alors qu’elle avait trois ans ; une enfant pas tout à fait comme les autres :
trisomique, ou mongolienne comme on disait alors. Antoine avait été mis en
route bien des années plus tard. Outre cette révélation, le testament contient
une disposition : en souvenir d’Antoinette, son père l’engageait à faire don
de La Longère à une association qui accompagne les personnes en situation de
handicap mental. Il s’agit d’un engagement moral, non d’une obligation. À lui
de décider.
Antoine va chercher à comprendre ses parents, à les découvrir, eux qui se sont
toujours dissimulés à lui avec tant d’application : pourquoi ne lui ont-ils
jamais rien dit d’Antoinette et de son mal ? de cette douleur qui les
tenaillait ? Pourquoi, lui, est-il arrivé au monde tant d’années après sa sœur
?
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