Journal d'un médecin malade

Préface de Jean Gillibert. Réédition d'un classique de la « quête de soi », écrit à l'ombre de la Mort (en 1942) par un homme résolu, dans les affres de l'agonie, à garder l'oeil clair - et à dresser sans rien en omettre le bilan de sa vie. L'auteur, qui fut l'un des grands introducteurs de la psychanalyse en France (et le confident d'Anaïs Nin et d'Antonin Artaud), donne dans ces pages, rédigées avec les mots les plus justes les plus nus, une formidable leçon de lucidité - et de liberté.