- EAN13
- 9782246662013
- ISBN
- 978-2-246-66201-3
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 11/02/2004
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 140
- Dimensions
- 21 x 12 x 1,7 cm
- Poids
- 165 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 848.914
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
SURSAUTS BRINDILLES ET PETARDS [Paperback] Ribes, J.-M.
De Jean-Michel Ribes
Grasset
Littérature française
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« Je n'aime pas le passé mais il remonte souvent. Comme je ne sais pas quoi en faire je le découpe en morceaux je le peinturlure un peu et mets tout ça... où déjà ? Ah oui là ! pendant que je m'en souviens je vous le donne. »
J-M Ribes
Des aphorismes, des pièces courtes, des absurdités au quotidien, des rencontres, des morceaux de mémoire qui flottent à la dérive, et le théâtre principalement pour décor. Au hasard, quelques exemples de l'esprit et de la causticité de Jean-Michel Ribes :
« Le grand comédien Pierre Arditi avait pour habitude quand il découvrait dans sa loge un caïman, même de petite taille, de le signaler immédiatement au régisseur. »
« Quand Roland Topor riait, le pape se réveillait en sueur. »
« Beaucoup de critiques entrent au théâtre avec l'air d'en sortir. »
« On a dit que le trou du souffleur du Théâtre de la Ville était placé à l'endroit exact où Gérard de Nerval se pendit en janvier 1855. Malgré de nombreuses recherches personne n'a jamais trouvé un trou de souffleur au Théâtre de la Ville. Gérard de Nerval serait-il mort dans son lit ? »
J-M Ribes
Des aphorismes, des pièces courtes, des absurdités au quotidien, des rencontres, des morceaux de mémoire qui flottent à la dérive, et le théâtre principalement pour décor. Au hasard, quelques exemples de l'esprit et de la causticité de Jean-Michel Ribes :
« Le grand comédien Pierre Arditi avait pour habitude quand il découvrait dans sa loge un caïman, même de petite taille, de le signaler immédiatement au régisseur. »
« Quand Roland Topor riait, le pape se réveillait en sueur. »
« Beaucoup de critiques entrent au théâtre avec l'air d'en sortir. »
« On a dit que le trou du souffleur du Théâtre de la Ville était placé à l'endroit exact où Gérard de Nerval se pendit en janvier 1855. Malgré de nombreuses recherches personne n'a jamais trouvé un trou de souffleur au Théâtre de la Ville. Gérard de Nerval serait-il mort dans son lit ? »
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