- EAN13
- 9782842638702
- ISBN
- 978-2-84263-870-2
- Éditeur
- Le Dilettante
- Date de publication
- 06/01/2016
- Collection
- LE DILETTANTE
- Nombre de pages
- 224
- Dimensions
- 18 x 12,1 x 1,8 cm
- Poids
- 223 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Un peu plus bas vers la terre
De Renaud Cerqueux
Illustrations de Fabrice Pellé
Le Dilettante
Le Dilettante
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Un commercial paumé découvre que son destin est lié à celui d’un singe du programme spatial Apollo. Un SDF devenu gardien de zoo à Fukushima trouve l’amour en louant une amie sur internet. Un trader parisien reconverti dans l’orpaillage en Guyane rencontre Dieu sous les traits d’un orang-outang. Un expert du trading haute fréquence part à la recherche de son âme et lance une attaque de zombies contre la City de Londres pour ne pas devenir le prochain Jérôme Kerviel. Un cadre supérieur au chômage devient père Noël en intégrant, malgré lui, une communauté de hackers dans le Grand Nord. Les cinq nouvelles de ce recueil complètement perché se penchent sur la condition du terrien au début du 21e siècle, entre culte de l’identité, servitude volontaire, chaos, tyrannie de la technique et quête d’idéal dans un monde dont l’absurdité affleure un peu plus à chaque ligne. DÉJANTÉ.
« De jeunes garçons intrépides en maillots colorés prirent d’assaut son esprit. Même les lèvres bleues, ils n’avaient jamais froid. Tant qu’il leur restait suffisamment d’imagination pour inventer le jeu le plus modeste, ils ne connaissaient ni la faim, ni la fatigue. Et ensemble, ils n’étaient jamais à court d’idées. L’enfer, c’était de rentrer manger et d’être condamné à dormir avant de reprendre la même journée. Strictement la même. Ils ne pouvaient pas en imaginer de plus belle.»
« De jeunes garçons intrépides en maillots colorés prirent d’assaut son esprit. Même les lèvres bleues, ils n’avaient jamais froid. Tant qu’il leur restait suffisamment d’imagination pour inventer le jeu le plus modeste, ils ne connaissaient ni la faim, ni la fatigue. Et ensemble, ils n’étaient jamais à court d’idées. L’enfer, c’était de rentrer manger et d’être condamné à dormir avant de reprendre la même journée. Strictement la même. Ils ne pouvaient pas en imaginer de plus belle.»
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Commentaires des lecteurs
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